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Louez Dieu avec mon coeur
30 octobre 2018

2 Au milieu de la catastrophe, j’ai vu la main de Dieu

                                        YING Xin La ville de Pékin

                                                 Le 15 août 2012


 Le 22 juillet 2012, le lendemain de l’inondation de Pékin du 21 juillet, je me suis précipitée pour rendre visite à une sœur qui venait juste d’accepter l’œuvre de Dieu des derniers jours deux mois auparavant. À peine entrée dans son village, j’ai vu devant moi une scène qui m’a rendue stupéfaite à en être muette ! J’ai vu que les routes s’étaient effondrées, découvrant leurs fondations sous l’asphalte. Partout, il y avait des fragments de pierres qui avaient chuté de la montagne, les plus gros pesant quelques tonnes. La boue s’était accumulée jusqu’à trente centimètres de profondeur et l’eau de pluie qui coulait le long des flancs de montagne avait déjà formé une petite rivière… Tout le village était dans un chaos total, complètement méconnaissable.

 J’ai traversé le village et, à mi-hauteur de la montagne, j’ai vu sœur LI (la nouvelle sœur). Elle m’a décrit le déroulement de la catastrophe.

 Le soir du 21, le mari de cette sœur était en train de cuisiner dans une petite cabane à côté de leur maison en pierre. Ils étaient tous les deux en train de parler et de rire ensemble, sans jamais penser que cet orage pouvait devenir atroce. Lorsque la sœur a découvert que l’eau coulait à l’intérieur des bottes remontant à hauteur du genou qu’elle portait, elle a soudainement eu un mauvais sentiment. Elle a crié, « Nous sommes en danger ! Vite, montons sur la montagne ! » Dès qu’elle a dit cela, ils ont vu un déluge d’eau dévaler la colline, inondant le sol d’un mètre de profondeur. À ce moment-là, la sœur avait la frousse ; de toute urgence, elle a tiré son mari et a commencé à grimper la pente à l’aide de quelques robiniers derrière la maison. Seulement une minute après qu’ils ont atteint un terrain élevé, le torrent, en dévalant la montagne, a provoqué un éboulement de pierres et de rochers et de débris. Le scooter électrique, les bicyclettes et la petite cabane dans la cour, et même un coin de la maison en pierre, ont été brusquement emportés par le courant acharné.

 Après, la sœur a dit : « Pendant que je regardais toutes ces choses être emportées, je n’avais pas peur ; au contraire, dans mon cœur je me sentais calme et en paix. Même si nos choses étaient parties, j’avais toujours Dieu. Comme la force du courant était si énorme, quiconque serait tombé dedans serait sûrement mort — pourtant nous allions bien. C’est à cause de Dieu Tout-Puissant qui nous a sauvés. » Quand la sœur est retournée chez elle pour ranger, elle est tombée sur sa copie des Sélections des enregistrements des trois étapes de l’œuvre de Dieu, sur le lit, complètement intacte et indemne. L’eau n’avait pas submergé le lit ni mouillé le livre, même si toutes les autres choses dans la chambre, y compris le bureau et les chaises, flottaient. La sœur a dit, tout excitée : « Dieu a intentionnellement laissé ce livre pour moi. Dorénavant, je dois faire de mon mieux pour Le suivre ! » Elle a dit aussi que d’habitude, après être rentrée chez elle du travail et s’être changée, elle laissait simplement ses vêtements partout, mais ce jour-là elle les avait suspendus à la place. Ce n’est que plus tard, alors qu’elle triait ses choses, qu’elle a découvert que deux mille yuans étaient restés dans une poche de ses vêtements. Tout ceci était possible grâce à la protection de Dieu. Lorsque la sœur et moi sommes allées derrière la serre où poussaient les champignons, un spectacle encore plus merveilleux est apparu devant nos yeux : la route qui conduit de la cabane à l’endroit de la villa était remplie de pierres et de rochers sur une hauteur de trente ou quarante centimètres ; ceux-ci avaient empêché le torrent qui dévalait la montagne de déferler contre la serre ou poussaient les champignons et contre la maison en pierre et, à la place, l’avaient fait se diviser et s’écouler. Il semblait que l’inondation et les pierres avaient acquis des yeux. Les actions de Dieu sont vraiment miraculeuses !

 En fait, l’objectif de Dieu dans les catastrophes n’est pas de détruire entièrement l’humanité, mais plutôt d’utiliser la calamité pour secouer et réveiller nos âmes et pour nous permettre de discerner la vie au milieu de la catastrophe, et ainsi de nous libérer du filet de Satan et de nous faire retourner à Dieu pour recevoir Son salut et Sa protection. En même temps, Dieu veut utiliser les catastrophes pour nous amener à Le connaître vraiment, à voir Ses actions et à être gagnés par Dieu. Voilà l’amour et la compassion de Dieu pour nous les humains. Les paroles de l’hymne de la déclaration de Dieu, « Dieu descend avec Son jugement » sont chantées ainsi : « En descendant vers la nation du grand dragon rouge, Dieu tourne Sa face vers l’univers et il se met à trembler. Y a-t-il une place qui échappe à Son jugement ? Ou qui résiste au fléau qu’Il déverse ? Partout où Il passe, Il répand des germes de désastre, mais c’est aussi Son acte de salut et d’amour pour l’homme. Dieu désire que plus de personnes Le connaissent, Le voient, puis Le révèrent. Elles ne L’ont pas vu depuis des lustres, mais maintenant, Il est si réel. »

 Frères et sœurs, dans cette période de catastrophes fréquentes, comment devrions-nous choisir notre voie ? Comment devrions-nous marcher notre dernier pas tout en respectant la volonté de Dieu ? Plus la catastrophe est grande, plus Dieu est anxieux. Que nous puissions tous comprendre Ses pensées les plus sérieuses et Ses intentions ferventes, afin que nous puissions activement prendre l’initiative d’agir en coordination avec Dieu, d’accepter l’appel de Dieu et Sa commission, de mener encore plus d’âmes devant Lui, et, à la fin, au moment crucial, de Lui offrir tout notre être en répandant l’Évangile du royaume !

 Source : L'Église de Dieu Tout-Puissant

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